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Songe : Merci Briget, je t'en souhaite tout autant :)
penseeenvrac : RENCONTE JOUEB [Lien] Celsius42 : Je reviens ici et je découvre que j'ai un flambant "NEW" rouge à côté de moi, quel honneur :) Songe : Je te le laisse encore 2 mois et après tu rejoins les dinosaures du dessus :) Celsius42 : en fait, j'aime bien être le seul avec son petit mot de couleur. Nina : Juste de passage pour te souhaiter un joyeux anniversaire ...Ça fait plus d'un an que je lis tes écrits, sans laisser de traces ^_^.... Georges Brassens avait raison, "ce qu'il faut de malheur pour écrire la moindre chanson" ! Si le chagrin est toujours trop envahissant, au moins il permet chez certains une belle créativité !!! Je te souhaite de ne pas avoir envie d'écrire trop souvent, sauf si c'est pour nous offrir des élans de joie !!! Si je t'encourage à écrire, jamais je ne souhaiterais que tu sois triste pour arriver à écrire de bien belles choses . Songe : La plupart du temps les beaux moments se vivent et les tristes s'écrivent, c'est ce qui fait soit regretter l'écriture soit jalouser la vie dans les entre-deux, quand l'intensité n'est là ni pour se vivre pleinement ni pour apporter suffisamment d'inspiration. Mais heureusement il y a le souvenir et le ressenti pour ressusciter les peines et les joies et s'en imprégner suffisamment pour qu'il y ait de l'encre à l'encrier :) Merci d'avoir mis un peu d'encre ce soir dans le mien, ça m'a donné envie de me souvenir que j'aime écrire :) Youssouf : Bonsoir, Songe. Pardonne moi de t'avoir agressé stupidement il y a 16 ans. J'étais très con. Réagir : ![]()
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Vendredi (23/12/16)
Un silence givré recouvre les landes, la maison dort dans une torpeur hivernale, posée en retrait du village. A cette heure tardive, la nuit n'est percée que par les rares lueurs lointaines des phares qui se précipitent au long des routes.
Farve a marché longtemps, depuis la gare voisine, il voulait se fondre dans la nuit, sentir le froid nocturne lui mordre le visage, goûter à la sensation un peu inquiète des frondaisons qui craquent et gémissent un peu partout autour. Se laisser surprendre par les faisceaux qui balayent le paysage et le contrastent dans leur halo blafard, puis s'évanouissent aussi vite qu'ils sont survenus. Hésitant quelques instants à quitter brusquement cette nuit qui l'a apprivoisé, il reste un peu sur le seuil puis pousse finalement la lourde porte fermière. Une douce bouffée de chaleur l'accueille, la lueur braisée finit de s'éteindre dans l'âtre et fait danser les ombres du mobilier aux murs. Sur la table un assiette couverte l'attend, à côté d'elle une enveloppe. Il s'assied, n'a d'yeux que pour l'enveloppe, intrigué, et pourtant, craignant de l'ouvrir trop vite, il la retourne entre ses doigts, relit son nom plusieurs fois, bien qu'il reconnaisse l'écriture entre mille. Il fait réchauffer son écuelle, retardant encore le moment d'ouvrir la lettre, intimidé et impatient à la fois. Se rapprochant de l'âtre mourant, il finit par décacheter l'enveloppe, se penchant vers le feu pour déchiffrer l'écriture fine qui s'étale sur son papier épais de la carte qu'elle contient. Il sourit, relit encore une fois pour se réimprégner des mots et remets précieusement la carte dans son écrin, la glisse au pli de ses vêtements tandis que l'obscurité a fini de reprendre ses droits. Il traverse la maison sur la pointe des pieds, rejoint son lit entre ceux des dormeurs et s'endort paisiblement, la carte posée sur son coeur ... Farve ça veut dire couleur .... Prose de Songe, dans la rubrique "Il était une fois ...".
(Publié à 02h 16mn - 0 égarements)
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Un simple boitier blanc, posé là au milieu de mes maigres affaires ...
Prose de Songe, dans la rubrique "Alternactif".
(Publié à 01h 47mn - 3 égarements)
Lire l'article Mercredi (21/12/16)
On air : Tya mansfield "Pour oublier je dors"
Je suis rentré chez moi hier, dans la campagne givrée, les champs qui s'étirent vers un horizon vallonné et parfois brisé par des taillis et forêts blottis en creux. Un pays de gens discrets, de fermiers et de gens de peu. Un de ces endroits oubliés du monde, mal-aimés où nul ne vient jamais par hasard ou en passant par là. On m'a déposé dans la ville voisine, qui commençait à s'endormir dans la langueur du soir. Petite et Mignonne, surplombée par quelques vieux murs médiévaux, ses rues serpentent en silence entre des maisons pour beaucoup délaissées par une population qui est parti quand les dernières usines puis commerces se sont clos. J'ai marché, le visage piqué par le froid, j'ai poussé une porte et me suis retrouvé avec tous leurs visages riants, si chauds, si beaux, aussi heureux de me voir que moi de les retrouver. Ce sont ces moments qui me disent où vit maintenant mon coeur. On s'est pris dans les bras, ils m'ont dit leurs inquiétudes pour moi, je me suis assis entre eux, leur ai raconté mes deux semaines loin d'eux. On est allés au cinéma pas loin, une grande et belle bâtisse moyenâgeuse reconvertie en grand écran, pour voir le dernier film de Ken Loach. On a pleuré, tous, émus et révoltés par cette réalité que nous ne voulons plus vivre. Nous en avons parlé longtemps, parce que chacun de nous avait envie de trouver des réponses, que collectivement nous avons envie de pouvoir faire quelque chose contre la misère et l'isolement. Dans notre maison, les pauvres peuvent manger sans payer, dormir sans limites de temps, avoir leur place indépendamment de leurs origines sociales ou géographiques. J'aime cette maison-là, parce qu'elle respire la bienveillance et l'attention, la générosité et l'engagement à construire une autre façon de vivre et interagir ensembles. Mais en-dehors les nuages couvrent un monde bien vaste et nous sommes encore bien trop petits ... J'ai repensé aux migrants chassés d'un boulevard à l'autre de Paris, à tous ces moments brutaux que j'ai vécu dernièrement, et je me redécouvre le coeur à vif, profondément touché par tout et tous. J'ai envie d'agir partout, d'étendre mes bras à l'infini pour y enlasser toutes ces vies abîmées, bouleversées. Demain ... d'abord cultiver notre jardin, nous en nourrir, l'agrandir pour en nourrir d'autres et multiplier les jardins, les refuges. J'espère avoir le temps, que nous aurons tou-tes le temps, sans trop souffrir pour le prix de rêver et lutter pour un autre monde. Si demain je dois voyager entre quatre murs, parce que j'ai entravé le monde de l'argent, je m'évaderais vers ces champs, ces sourires, au coin d'un poêle où fume une bouilloire. Pour l'heure j'y vis, j'y respire et j'y lutte et je m'y sens entier ... Prose de Songe, dans la rubrique "Journal fragmentaire ...".
(Publié à 18h 38mn - 0 égarements)
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On air : Leonard Cohen
Les murs sont blanc, immaculés, hauts, élancés vers un plafond qui s'écaille, la lumière pâle du dehors jette un regard blafard dans la pièce tandis que le vent bat la mesure avec le volet. La fenêtre encadre un ciel capricieux, grisâtre et lacéré de pluie. La voix éraillée, triste et si belle de Léonard Cohen flotte dans l'air, suspendue entre les quatre murs, figeant le moment dans une intensité particulière. Assis dos au mur, je la laisse m'emplir, m'emporter dans le temps, à la place de ce partisan caché dans un grenier, qui jette en vrac ses pensées sur une feuille avant de prendre son fusil et retourner au-dehors, au-devant de l'incertitude, du froid, des craintes. Armé de la seule certitude qu'il y a une fleur qui tremblote invisiblement au bout de son fusil, qu'il y a un monde qui fleurit dans son coeur. Mais la vision s'évapore déjà, avec la fin de la chanson, laissant place à une autre, "Suzanne". Une éclaircie survient, rosissant légèrement les arrêtes des murs, Mon esprit s'envole un instant avant d'être rattrapé par les paroles, qui font étrangement écho à mes sentiments. You can spend the night beside her And you know that she's half crazy But that's why you want to be there A mes côtés il n'y a pas de Suzanne, ni elle, ni personne, juste un vide un peu trop vide. Mais je ne peux m'empêcher de penser à ces moitiés de folie qui m'habitent et me plaisent. Un mélange de souvenirs, d'espérances, des visages qui tournent et s'évaporent à leur tour, tandis que la musique change encore ... Let's meet tomorrow if you choose upon the shore, beneath the bridge that they are building on some endless river Then he leaves the platform Je me sens un peu cet étranger de "The stranger song", dans cette pièce sans meubles, j'ai envie d'enjamber la fenêtre, et rejoindre le quai, prendre le train, sans me retourner, vers l'interminable rivière, m'asseoir sur ses rives et la regarder s'écouler avec mes pensées. If it be your will, That I speak no more And my voice be still, As it was before I will speak no more, I shall abide until I am spoken for If it be your will If it be your will That a voice be true, From this broken hill I will sing to you, From this broken hill "If it be your will" poursuit la dérive, et m'ôte les mots qui me restent ... Prose de Songe, dans la rubrique "Alternactif".
(Publié à 13h 08mn - 0 égarements)
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J'ai supprimé mon texte précédent : trop d'interprétation, de déductions qui enferment le passé et le présent. Je me suis dit qu'en fait, parfois, il n'y avait peut-être pas de mots, et qu'essayer d'en poser ternissait davantage la réalité que ça ne contribuait à l'éclairer.
Parfois il n'y a tout simplement pas de bonnes explications, les choses se bousculent et s'entrechoquent et il advient ce qu'il advient, parce qu'on a laissé faire ou parce qu'on a fait une suite de choix et d'absence de choix au gré des jours. En me relisant je me suis trouvé un peu froid, comme si j'essayais de faire rentrer une bousculade de doutes et de sentiments contraires dans une boîte bien carrée, dimensionnée sur mesure. Mais il n'y a là pas de mesure, et même pas de démesures, juste la vie, comme un ressac qui échoue des choses et en reprend d'autres. Et il y autant de façons de voir les choses que d'instants pour les ressasser. Voilà, j'avais juste envie de revenir sur mes pas, parce que je me suis relu, et je me suis trouvé caricatural, gauche, froid, plat ... Prose de Songe, dans la rubrique "Journal fragmentaire ...".
(Publié à 12h 21mn - 0 égarements)
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On air : Beirut - Ibrahim Maalouf
Prose de Songe, dans la rubrique "Il était une fois ...".
(Publié à 13h 14mn - 0 égarements)
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Depuis quelques temps je n'ai plus de temps pour rien, ni pour écrire, ni pour lire, ni pour réfléchir, ni pour vivre, profiter,aimer, partager, cultiver, contempler, rajeunir.
Prose de Songe, dans la rubrique "Journal fragmentaire ...".
(Publié à 21h 06mn - 2 égarements)
Lire l'article Samedi (24/05/14)
Prose de Songe, dans la rubrique "Il était une fois ...".
(Publié à 14h 37mn - 3 égarements)
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La nuit remonte doucement sa couverture duveteuse sur le pâle paysage de Mystown. Les blanches masures hautes, lisses et sans fioritures opposent les unes aux autres leurs frontons sages. Le vent se faufile dans les rues désertes, s'attardant parfois autour d'un luminaire dont la lueur tremblotte timidement. Il ne reste guère qu'une lucarne qui résiste à l'obscurité, carré jaune sur ciel sans lune.
Prose de Songe, dans la rubrique "Il était une fois ...".
(Publié à 23h 12mn - 0 égarements)
Lire l'article Mercredi (04/12/13)
Il est mort hier, calmement, après des jours d'insoutenable souffrance. Il s'est hissé difficilement hors de son lit, s'est assis à sa table pour manger et s'est recouché pour s'éteindre, comme un souffle d'air emporte les feuilles mortes.
Prose de Songe, dans la rubrique "Alternactif".
(Publié à 02h 36mn - 6 égarements)
Lire l'article Mercredi (27/11/13)
L'enfer est pavé de bonnes intentions dit-on, je n'avais jamais vraiment vécu ce dicton aussi intensément que ces derniers jours.
Prose de Songe, dans la rubrique "Alternactif".
(Publié à 20h 29mn - 0 égarements)
Lire l'article Lundi (25/11/13)
Peut-on priver un homme de la connaissance de sa mort ?
Prose de Songe, dans la rubrique "Alternactif".
(Publié à 18h 38mn - 4 égarements)
Lire l'article Samedi (23/11/13)
Je ne sais pas si j'arriverai à écrire ce soir, des maux de tête comme je n'en ai plus eu depuis longtemps me vrillent le crâne. Je n'ai pas besoin d'en chercher la cause : je ne crois pas qu'il y ait pire moment dans mon existence que celui-ci.
Prose de Songe, dans la rubrique "Journal fragmentaire ...".
(Publié à 04h 01mn - 2 égarements)
Lire l'article Mercredi (18/09/13)
On air : J-S Bach - St Matthew passion
Prose de Songe, dans la rubrique "Songes".
(Publié à 22h 44mn - 0 égarements)
Lire l'article Jeudi (28/06/12)
La violence est une expérience différée : elle éclate soudainement, s'exerce physiquement immédiatement, mais s'exprime psychiquement dans la durée, lorsque les images refluent et emplissent la mémoire et l'obnubilent. On peut en plaisanter, la refouler dans un coin d'esprit où elle paraît nécessaire, accessoire, évidente ou rationnelle, mais l'organisme extrude petit à petit toutes ces sensations emmagasinées dans la confrontation, et l'esprit les met bout à bout puis en repasse le film jusqu'à ce qu'il l'aie assimilé.
Prose de Songe, dans la rubrique "Pensées".
(Publié à 16h 05mn - 1 égarements)
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