Il y avait tant de majesté dans la vue qui m'était offerte que pour un peu j'aurais aimé tendre la tête au-dehors, laisser le vent m'ennivrer tandis qu'au-dessous de moi se construiraient et déferaient sans cesse les fantastiques édifices nuageux. Parfois le royaume cotoneux s'étiolait en fumerolles pour laisser entrevoir terres et océans, si lointains, que je ressentais comme un privilège d'assister à un spectacle si grandiose.