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Nina : Juste de passage pour te souhaiter un joyeux anniversaire ...Ça fait plus d'un an que je lis tes écrits, sans laisser de traces ^_^.... Georges Brassens avait raison, "ce qu'il faut de malheur pour écrire la moindre chanson" ! Si le chagrin est toujours trop envahissant, au moins il permet chez certains une belle créativité !!! Je te souhaite de ne pas avoir envie d'écrire trop souvent, sauf si c'est pour nous offrir des élans de joie !!! Si je t'encourage à écrire, jamais je ne souhaiterais que tu sois triste pour arriver à écrire de bien belles choses .
Songe : La plupart du temps les beaux moments se vivent et les tristes s'écrivent, c'est ce qui fait soit regretter l'écriture soit jalouser la vie dans les entre-deux, quand l'intensité n'est là ni pour se vivre pleinement ni pour apporter suffisamment d'inspiration. Mais heureusement il y a le souvenir et le ressenti pour ressusciter les peines et les joies et s'en imprégner suffisamment pour qu'il y ait de l'encre à l'encrier :) Merci d'avoir mis un peu d'encre ce soir dans le mien, ça m'a donné envie de me souvenir que j'aime écrire :) Youssouf : Bonsoir, Songe. Pardonne moi de t'avoir agressé stupidement il y a 16 ans. J'étais très con. Songe : Il n'u a rien à pardonner, sinon à toi-même :) nous ne sommes pas ce que nous fûmes mais nous pouvons être ce que nous aimerions devenir ... babao : coucou d'il y a très longtemps, j'espère que tu vas bien. Réagir :
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De la liberté
La liberté n'a de réalité que dans la subjectivité : on est libre que lorsqu'on se sent libre. Me sens-je libre ? Voilà la question véritable qu'il faut se poser lorsqu'on s'interroge sur le pouvoir de décision dont on dispose sur sa vie. Car tout le monde à la possibilité de changer sa vie d'une manière ou d'une autre, les conséquences sont le seul facteur dissuasif et exclusif qui rentre véritablement en ligne de compte. Aussi nombreuses que puissent être mes contraintes quotidiennes, si j'ai le sentiment d'être libéré de celle-ci, elles n'auront pas de prises sur mon sentiment de liberté. Maintenant, il est certain qu'en pratique les choses ne sont pas aussi simples et que les sentiments sont rarement constants et généralisables : je peux avoir le sentiment d'être heureux de façon générale tout en vivant des moments d'intense désespoir; ce sentiment général, je ne pense pas qu'il découle d'une somme de moments heureux comparée à une somme de ceux qui le sont moins, il s'agit plus d'un pouvoir de relativisation. Je peux me considérer bienheureux par rapport à d'autres qui vivent un enfer, je peux aussi me trouver mal loti par rapport à d'autres qui n'ont pas de soucis d'argent mais ce n'est pas ce que j'entends par relativisation : c'est un raisonnement un peu facile, une sorte de syllogisme rapide, qu'on utilise souvent pour s'adresser à la conscience d'autrui. Mais je ne me sens pas heureux (je reviens sur la notion de liberté ensuite) parce que d'autres le sont moins pas plus que je ne me sens heureux parce les moments heureux seraient plus nombreux que les malheureux. Je me sens heureux simplement parce que je jouis de la liberté qui me permet de réaliser une grande partie de ce que je suis et souhaite. Le relativisme que j'évoquais, se fait par rapport à mon passé, par rapport à ce que je vois pour mon avenir : j'ai l'impression d'avoir évolué en bien et j'ai l'intuition d'avancer dans la direction qui me correspond. Or ça je ne le dois qu'à la liberté que je me suis ménagé dans mon environnement quotidien : je modèle ce qui m'entoure à l'image de mes souhaits. Maintenant il est vrai que je souffre encore par moments du décalage entre ce que j'espèrais et ce qu'il se passe vraiment, entre mes ambitions et le résultat effectif de mes efforts, entre ma vision des autres et ce qu'ils sont réellement. Mais c'est précisément sur ce décalage que doit agit la relativisation : travailler à le réduire ou passer au-delà sans s'en formaliser ou laisser atteindre. J'ai placé cette réflexion dans la rubrique Café Philo pour inviter ceux qui le souhaitent à définir eux-même leur liberté et les contraintes qu'ils rencontrent à celle-ci dans leur vécu quotidien ... Prose de Songe, le Jeudi 23 Novembre 2006, 12:29 dans la rubrique "Café philo".
Commentaires : |
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Elle naît éther, la pensée… se dessine si belle l'imagine et se veut, se destine souvent matière le touché, l'avoir… étrange possession…
Elle s'ouvre tant coloris variés, autant ses tons particuliers… se crie, se chuchote, se tait silence si tendre… elle est singulière l'ego, l'intimé soi pourtant voulu intime, suivi le groupe, elle tend valeur le temps sa mode, s'esquisse alors sa propre reconnaissance…
Elle s'inverse l'automatisme d'un manque, elle se veut rêve l'ignoré… elle est espace unique la pensée… liberté est le mot qui ressemble tant ce lui dit, qui dit l'amour… interprété si individualité, tellement sa personnalité et imaginé par trop, faussé, universel…
Elle magnifie l'idée de soi tout aussi, elle se grandit en simplement l'offrant, d'une parole, d'un rien souffle le vent et elle pétille, alors, mille étoilées l'autre regard…
Je suis libre, je l'ai finalement toujours été sans doute parce que je n'ai pas grandi le rythme normé… et le banal la vie, la naissance de mes enfants, instinctivement, sans grandeur à m'affirmer ou beauté à me grandir, l'a faite se poser, se déposer à côté pour que la leur brille le monde… protéger, aimer au-delà de l'attendu retour, naturellement… m'offrir à imaginer la liberté leur seule innocence, l'importance, à les découvrir et à s'ouvrir humanité…
L'aussi pensée de leur donner ce qui m'a manqué, ce que j'imagine avoir égaré…
De là, s'emmêle, se mêle le libre l'Autour, la liberté de tous les autres… en essayer l'harmonie, sachant sa difficulté, le non possible la balance son équilibre l'égalité…
Je pense la liberté naître dans l'instant, le souffle cette seconde qui envole seule la pensée, celle d'être simplement, l'être soi profondément…
Le passé nous construit et n'est ni non plus son avenir. Le présent naît dans l'instant… ce creux de la seconde qui exprime si vite que souvent rien est ce qu'on entend…
Le temps nous fausse et laisse la vie nous entraîner, elle ne devrait que pouvoir nous emmener… la dimension donnée à cette étendue si mal nommée est grandie par l'empressement ajouté à la quête du questionnement… mais l'importance est ailleurs, si l'interrogation du profond de soi est se construire, le pourquoi et le comment ne mènent pas à la délivrance, seulement à la connaissance, le déjà, le qui est ne peut être changé puisque déjà il est… et l'emportement à demain néglige qu'il ne sera jamais que s'il devient est… être, ce présent infini présent, j'être libre cet être dans l'instant qu'offre le là, ce maintenant…
Le monde serait deçà, liberté serait un mot qui n'existerait pas !
Voilà donc une toute petite réflexion à s'étendre l'avis d'autres…
Je te souhaite une belle soirée.