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Nina : Juste de passage pour te souhaiter un joyeux anniversaire ...Ça fait plus d'un an que je lis tes écrits, sans laisser de traces ^_^.... Georges Brassens avait raison, "ce qu'il faut de malheur pour écrire la moindre chanson" ! Si le chagrin est toujours trop envahissant, au moins il permet chez certains une belle créativité !!! Je te souhaite de ne pas avoir envie d'écrire trop souvent, sauf si c'est pour nous offrir des élans de joie !!! Si je t'encourage à écrire, jamais je ne souhaiterais que tu sois triste pour arriver à écrire de bien belles choses .
Songe : La plupart du temps les beaux moments se vivent et les tristes s'écrivent, c'est ce qui fait soit regretter l'écriture soit jalouser la vie dans les entre-deux, quand l'intensité n'est là ni pour se vivre pleinement ni pour apporter suffisamment d'inspiration. Mais heureusement il y a le souvenir et le ressenti pour ressusciter les peines et les joies et s'en imprégner suffisamment pour qu'il y ait de l'encre à l'encrier :) Merci d'avoir mis un peu d'encre ce soir dans le mien, ça m'a donné envie de me souvenir que j'aime écrire :) Youssouf : Bonsoir, Songe. Pardonne moi de t'avoir agressé stupidement il y a 16 ans. J'étais très con. Songe : Il n'u a rien à pardonner, sinon à toi-même :) nous ne sommes pas ce que nous fûmes mais nous pouvons être ce que nous aimerions devenir ... babao : coucou d'il y a très longtemps, j'espère que tu vas bien. Réagir :
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Hassan, mon ami clandestin ...
J'ai rencontré Hassan il y a deux ans, lorsque je l'ai accompagné dans ses démarches pour le dépôt de sa demande d'asile. Il plaçait alors beaucoup d'espoir et d'optimisme dans cette démarche qui, lui semblait-il, devait nécessairement aboutir étant donné son parcours de vie. Seulement, faute de preuves suffisantes, Hassan n'a jamais obtenu l'asile. Hassan a près de 40 ans, il est originaire d'une petite tribu au pakistan, d'une région dont on accueille peu de migrants chez nous. C'est pour ça qu'il a toujours rencontré quelques difficultés à converser avec ses compatriotes. Il y a encore quelques années Hassan était un entrepreneur aisé à Dubaï, il faisait dans l'import-export et son affaire marchait bien. Seulement, lorsqu'il a voulu rendre visite à sa mère malade, il a été pris en otage de sa communauté natale dont il s'était enfui pour échapper à la femme qu'on l'avait forcé à épouser vers 13 ans. Il a laissé l'essentiel de son argent dans une rançon et a pris le chemin de l'exil vers l'Europe.
Quand je l'ai connu, il se plaignait de souffrir beaucoup de la promiscuité d'une collocation bruyante avec 6 autres pakistanais. Il souffrait de ne pouvoir jamais se sentir au repos, torturé par sa situation qu'il ne parvenait pas à comprendre : il lui semblait incompréhensible d'être accueilli ainsi en France alors qu'il avait le sentiment que son vécu lui offrirait l'asile. Il ressentait un fort sentiment d'injustice et était déterminé à persévérer jusqu'à ce que sa situation se régularise, jusqu'à ce qu'il obtienne les papiers. Je l'ai revu plusieurs fois, dans des bars au-dessus de Barbès, puis plus tard vers porte de Clignancourt, quand il a réussi a s'installer dans un espace plus grand avec deux colocataires seulement. Il avait alors renoncé à faire réexaminer sa demande d'asile et entamait la longue traversée des 10 ans de clandestinité pour obtenir la naturalisation (peut-être). Il s'était acheté un dictionnaire pour apprendre rapidement le français, qu'il parlait déjà de façon très fluide 5 mois après notre rencontre. il m'a présenté des connaissances, toutes préoccupées par une situation similaire, les uns venant d'arriver, les autres là depuis 5 ans, 10 ans, et l'un d'eux 16 ans à payer ses impôts, toutes ses factures et à avoir gardé toutes ses facturettes et tickets de métro sur 10 ans pour prouver sa bonne foi. Une fois j'ai demandé à Hassan comment ça se passait avec les femmes pour eux. Il m'a répondu "comment tu veux qu'on parle à une femme quand on est sans-papier ? Et des femmes de chez nous elles arrivent pas jusqu'ici. Alors on est plein d'hommes à pas pouvoir aborder une femme parce qu'on est pas du même monde. Tu sais au pakistan, les gens dans la rue ils parlent naturellement, partout, au coin de chaque immeuble. Ici il y a des barrières entre les gens, c'est très difficile. Moi je veux m'intégrer mais je sais pas comment je dois faire, je peux pas ..." Une autre fois je lui ai demandé ce qu'il faisait de ses moments libres, s'il lisait. Il m'a dit "je peux pas lire, j'ai trop de choses dans la tête qui font mal. Sinon on fait rien, on discute et on dort quand on travaille pas. Quand je rentre du travail je suis fatigué, alors je dors parce que le travail il est dur."
Pour le travail, quand je lui dis que c'est difficile pour les amis français d'en trouver, il me répond : "moi, si j'ai des papiers, demain je gagne 1500 euros, mais sans papiers je fais plein de petits travaux où on me paye pas beaucoup". Il m'explique alors comment les pakistanais s'entraident pour fournir à chacun un travail au noir et un logement à son arrivée. Un pakistanais, quand il arrive à Paris, ne reste pas une semaine sans trouver un petit boulot et un toit. Qui dans un restaurant, qui dans le bâtiment, qui sur les marchés. Au début ils gagnent 30 euros à la journée, puis 50 puis 100 quand ils deviennent bons. Quand Hassan aura ses papiers il sait déjà ce qu'il fera : il achètera un camion et fera de l'import-export et il est déjà assuré de faire fortune sur ce principe. Seulement, il n'a pas de papiers ... Ce soir j'ai revu Hassan, on ne s'était pas revu depuis un an, après un rdv manqué et l'absence d'appel de l'un ou l'autre. Il vit pas très loin de chez moi, dans un appart sans électricité, donc sans chauffage et sans eau chaude. au moins il y a de l'eau, c'est déjà ça. Et l'appart est en bon état, plutôt spacieux, dans un immeuble condamné à être détruit à plus ou moins court terme. Le voisin du dessous est parti la veille, ce matin son entrée était murée. Hassan n'a pas d'électricité parce qu'il n'a pas de rib à donner à EDF; il n'a pas de rib parce qu'il n'a pas de compte, et il n'a pas de compte parce qu'il n'a pas de papiers et que les banques dénoncent les sans-papiers.Il s'éclaire donc à la bougie et mange froid, dort dans le froid et se lève tôt tous les jours pour faire des marchés dans la banlieue éloignée de Paris. Deux ans après, Hassan désespère un peu mais il persévère, me dit toujours ce qu'il lui faudrait pour s'en sortir : un associé, des papiers, un camion. Il aimerait se marier, espérant que ça changerait sa situation. Hassan est quelqu'un de très généreux, très doux et calme, il m'offre toujours à manger quand bien même j'insisterai pour payer. Il aime offrir son hospitalité. Il m'accueille chez lui avec un paquet de gâteaux en guise de repas. Mais quand lui-même mort dedans, il grimace : il a une rage de dents depuis 10 jours et à l'hôpital on lui a dit que sans CMU il n'aurait pas de soins; alors il souffre et mange avec les dents de l'autre côté. Il ne se plaint pas, me demande comment je vais, comment va ma copine et ma famille. Quand je lui demande des nouvelles de la sienne, il me dit que sa mère malade le réclame chaque jour mais que s'il y va, il sait qu'il ne reviendra plus. Après tous ces efforts il ne peut pas, alors il l'appelle tous les jours, lui envoie des petites choses. A chaque fois que je quitte Hassan je lis une certaine tristesse dans ses yeux : il sait que sa route est encore très longue, à un âge où chez lui il devrait avoir une famille et un chez-soi, avec une affaire qui marche pour nourrir les siens. Mais la vie en a voulu autrement ... Je lui ai donné mon réchaud à gaz et j'essaierai de lui faire son branchement électrique. Rien que pour ça je tombe sous la loi du délit de solidarité. Moi j'appelle ça tout simplement de l'humanité et je suis heureux de connaître de nombreuses personnes qui le font aussi chaque jour. Prose de Songe, le Lundi 15 Novembre 2010, 00:25 dans la rubrique "Journal fragmentaire ...".
Commentaires : Non on ne le voit pas souvent et pourtant il est plein de belles choses quand on s'y attarde; Parfois j'aimerais faire visiter ce monde à d'autres qui ne veulent pas le voir, en essayant d'en faire voir le beau et pas le triste. Merci à toi d'avoir lu un peu de son histoire.
Aucune lutte plus légitime que celle de la défense des sans papiers. Il y a des gens qui font des choses formidables dans ce domaine (même RESF pourtant bien sage fait du super boulot, je l'ai constaté il y a peu dans le collège où je travaille!) et les associations de sans-papiers sont nombreuses et source de beaucoup d'espoir pour leurs membres. D'ailleurs, ça ferait peut-être du bien à ton ami de prendre des contacts s'il n'en a pas déjà. Malheureusement les sans papiers asiatiques sont bien moins représentés dans le milieu associatif...
Sinon, il y a une loi pour l'assurance médicale des sans papiers, normalement c'est gratuit (ils viennent de la réformer, en scred en même temps que les retraites : maintenant ce n'est plus gratuit que pour les urgences, mais il y a un système de Sécu payant. Cependant il n'y a pas eu les décrets d'application donc l'ancienne loi est forcément encore valable quelques temps). Il faut se renseigner, mais c'est sûr qu'il peut se faire soigner. Il peut s'adresser à des associations (qui tiennent des standards téléphoniques) pour avoir plus d'infos sur cette question, je ne me souviens plus du nom de l'asso que je connais mais je demanderai demain. Sinon, Hassan, c'est un prénom musulman? Parce que je n'en ai jamais rencontrés qu'au Sénégal... Hassan c'est arabe, principalement chiite.
La lutte sans-pap je pourrais en parler des heures, je me suis beaucoup intéressé à la question des migrations et particulièrement des frontières et de leur renforcement en Europe-forteresse. Du coup je connais presque mieux les migrants asiatiques (Afghans, kurdes, pakistanais, iraniens) que les africains même si j'ai traîné un moment du côté de Baudélique (et du CSP75 (no comment)). Pour mon ami, il est vraiment dans une dynamique très personnelle et a du mal à penser collectif, même s'il apprécie la compagnie des autres et qu'il est plutôt sociable. Je pense qu'il a pris l'habitude de ne compter que sur lui-même, surtout après les revers personnels qu'il a subi dans sa confiance aux autres. Il recherche davantage des amis français j'ai le sentiment, que des gens qui ont une situation similaire à la sienne. Il y a MSF pour les soins, je vais l'envoyer auprès d'eux, ils se sont occupés depuis des années des afghans sur le canal. Tu bosses dans un collège comme pion, prof, administrative ou agente ? Parce que j'ai bossé les trois dernières années dans un collège comme secrétaire d'intendance. Et c'est vrai que j'ai aussi eu l'occasion de voir l'importance du soutien aux sans-pap dans les établissements scolaire grâce à ce travail énorme de rézotage. je suis pionne (non, pardon, il faut dire "assistante d'éducation", ça veut dire secrétaire, flic, standardiste, prof, agent de la circulation, éducateur, serpillère. Au moins on se fait pas chier!). RESF s'est mis en branle en fin d'année pour un élève chinois dont toute la famille avait reçu un OQTF, j'ai été très impressionnée par leur capacité de réaction qui a permis d'ouvrir un débat assez général dans l'établissement (pour la famille je ne sais pas trop ce qu'il se trame, je crois qu'ils sont encore en une obscure procédure de recours administatifs...)
Moi je connais surtout les réseaux africains type 9e collectif. Je me suis beaucoup sensibilisée à la cause après l'expulsion de la Bourse du Travail par le SO de la CGT (je pourrais cracher pendant 10 pages sur ces gens là mais je vais rester calme et m'abstenir). Je suis contente de voir que c'est une lutte qui est passible de mobiliser beaucoup de monde, dans pleins de milieux associatifs et militants de façon durable. Les besoins sont énormes et la situation s'empire toujours un peu plus, mais pour faire preuve d'un peu d'optimisme, pour une fois, je dirais qu'il nous reste un soubresaut d'humanité collective sur ces questions là. AED en jargon administratif, je vois très bien : les corvéables à merci de l'éducation nationale, les passe-nerfs de la direction, des parents et des élèves. En ce qui concerne RESF, je suis sur la liste officielle de Paris et je vois l'énorme réseau que c'est : c'est une incroyable mécanique participative. De toutes façons je suis fasciné par le mouvement des sans-pap : j'avais visité en détail Baudélique et on m'avait expliqué tout le fonctionnement, c'était une logistique stupéfiante pour 1000 personnes (même si le système pyramidal est très ancré et contestable). Je pense que la situation s'aggrave parce que globalement le système politique se durcit et s'en prend très largement au social. La loi Besson ne devrait pas tarder à faire ses ravages. La meilleure façon de détruire le tissu associatif est de le surcharger et disperser ses énergies, les épuiser par une charge inhumaine de travail qu'aucun bénévole ou réseau militant ne peut supporter durablement (sauf à être extrêmement cohésif et bien organisé, expérimenté). Personnellement je me suis beaucoup engagé dernièrement dans le réseau noborder pour lequel je continue de bosser quand j'ai un moment à lui consacrer. Je suis archi-convaincu de notre nécessité à internationaliser et mondialiser rapidement nos réseaux de lutte, sous peine de ne pas pouvoir opposer une résistance suffisante à des décisions qui sont prises de plus en plus loin et haut. Pour ce qui concerne la CGT, j'ai participé à un piquet de grève sans-pap et je ne me fais plus aucune illusion sur eux : ils ont des comportements de néo-colonialistes doublés d'un fonctionnement décisionnel hyper-pyramidal. Sans compter les réflexes territoriaux : "touche pas à mon pré carré, sinon tu vas tâter de ma barre de fer". Bref, rien ne vaut l'orga horizontale et autogérée des piquets et mouvements de grèves. |
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C'est un autre monde qu'on ne voit même pas, qu'on ne veut pas voir aussi.