Il est clair que l'oin peut bien se demander ce que celà peut apporter de se montrer avenant, mignon, puis, hyprocritement, de dénigrer et crtiquer dans le dos d'autrui.
Hélas, c'est une coutume de plus en plus fréquente dans cette société.
Forme d'équilibre ?
Qui ne rime à rien tu as raison.
J'espère qu'il ne s'agissait pas là pour toi de personnes qui avait malgré tout acquis une certaine importance à tes yeux.
Décpetions, O déceptions...

Pour ma part, je ne prend plus que peu, très peu le temps de te lire suur ton joueb, de même que pour joueb dans l'ensemble, mais chaque fois que j'y passe, je ne laisse pas des commentaires en l'air, mais bien suite à des ressentiments qui s'accordent aux lectures que j'y ai faites en tous cas.

Limiter tes blablas auux personnes qui disposent d'un compte est une bonne idée au fait, je vais surement l'adopter à mon tour surtout vu le spam de c derniers temps.

Au plaisir Songe

Je te suis reconnaissant de ces mots que tu laisses et qui font l'effort d'analyse, de compréhension et d'attention qui me semblent essentiels à la vie en société. Or, comme tu l'évoques, bien souvent le virtuel fait oublier à beaucoup la bienséance sociale (qui déjà subit bien des entorses au quotidien).

Il y a constamment des déceptions et je dirais presque j'en suis heureux parce que le jour où je n'aurais plus de déceptions sera probablement le même où je serais désabusé ou blasé; et c'est bien la dernière chose que je me souhaite, de parvenir à cette indifférence morne de ce qui m'entoure juste parce que je n'aurais plus le courage ou l'envie de souffrir. Je préfère me consumer dans des colères vives et des douleurs profondes plutôt que de me compromettre dans une acceptation de ce qui m'apparaît souvent intolérable.

L'hypocrisie est une forme difficilement condamnables de la protection des autres puisqu'on sait eprtinnement que c'est le signe d'une sensibilité à fleur de peau qui cache son malaise dans l'apparence ou le dénigrement d'autrui : "si tu veux qu'on ne te regarde pas alors pointe le doigt vers un autre ou met un masque" me semble résumer l'essentiel de la vie en société où chacun est souvent plus sensible qu'il n'y paraît mais beaucoup se comportent également moins humainement qu'ils ne le prétendent.

Bien à toi et merci de laisser ici des mots sous les textes où j'exprime ce que je pense être mes valeurs ...

A la lecture de ton commentaire, une fois de plus, c'est aussi je pense la réflexion que je me suis faite de tout celà.
Ce qui concerne en parti cette désillusion des rapports humains... évités qd ils deviennet trop importants... plus de contrôle ? trop de bonheur ? complaisance dans la douleur parfois ? car plus régulière ? habituelle ? réconfonrt de l'habitude ?  ... peur toutefois de n'y sombrer... humain... vif, à fleur de peau, vivant... douleur signe même de vie, rassurant en un sens...

Quoiqu'il en soit, je ne serai jamais totalement blazés dans la mesure où j'essaie de raisonner par rapport à moi, mes ressentiments, à analyser mes réactions, à essayer en fonction de celà de tenter de me mettre à la place d'autrui, de comprendre les circonstances... et il y en a.
Je vois ça comme un défi, celui de les contourner, et de saisir cet autrui qui se défile et déçois, dénigre, là même où sa conscience profonde est, pour l'éveiller, et le sortir de ce carcan de consommation sociale superficielle pour parler peu précisément.

Facettes,

Je m'excuse de répondre aussi tard aux commentaires qui suivent cet article mais je préfère toujours trouver un moment qui se prête aux commentaires plutôt que de répondre à la va-vite et rejoindre ce que je dénonce dans mon article : la réponse de politesse.

Ce qui m'a poussé à écrire ce coup de gueule est d'une part un article que j'ai pu lire chez quelqu'un qui d'un côté fait risette et de l'autre tire à) la grande artillerie dans ton dosdès que tu es retourné. Mais je me suis promis de régler ça dans la réalité si ça devait se reproduire.

Les bizoutages sonnent faux oui bien souvent, ils sont laissés par politesse comme je le disais et pour signifier "tu vois, même si je n'ai rien à te dire je pense à toi". Certes c'est gentil mais bon, je ne sais jamais que répondre et j'ai horreur de faire distribution de petits bizoux sucrés à déguster pour le quatre heure.

Pourquoi j'écris ? C'est là que je suis content d'avoir retardé les commentaires puisqu'il se trouve que ça vient en conjonction avec ton article et celui que j'ai écrit en réaction à celui-ci. J'écrit parce que j'en ressens un besoin irrépressible, irrationnel et spontanné qui parfois me malmène autant qu'il me porte.

C'est vrai que dans mes brouillons gisent bien des articles à la tonalité plus mordante et que j'ai finalement retenu en me disant que ça ne menait à rien; alors du coup j'écris sur un blog connu de moi seul ou j'écris mes textes les plus enragés, ça évite de trop troubler cet endroit-cique j'ai voulu plus serein.

Pour répondre à ton avis sur moi (qui me touche d'autant plus que je sais réciproquement que tu es sincère et tout aussi sensible et humaine), je vais te dire que je t'apprécie vraiment beaucoup également; autant je reste prudent face à l'impétuosité au départ, autant avec le temps et au gré de tes nombreux blogs je me suis surpris à vraiment l'aimer; et généralement ce sont les personnes les plus spontannées et inconstantes que j'aime compter parmi mes amis les plus proches parce que je les sais authentiques et sincères.

Je pense que je te dois quelques coups de colère que j'aurais eu tendance à ravaler avant mais que je préfère extérioriser à présent où je partage ta vision des choses.

On se sent quand même bien mieux quand on a postillonné un bon coup sur l'écran (sans être injuste et mesquin naturellement) :), après on essuie et on reprend calmement ...

Merci de ton commentaire, je savais que toi et Jean-Jacques répondriez à cet article ;)

Songe

Je te lis toujours Songe. Je connais bien l'hypocrisie qui règne ici bas, nous en avons déjà discuté.  Un coup de colère ne fait pas de mal et soulage le coeur... Mais tu sais les médisences existeront toujours...  Bon courage en ce début de semaine, je vais maintenant vaquer à mes propres préoccupations, je voulais simplement te laisser une trace de non solitude. A bientôt :-)